l’Art se détourne des clichés !
Bien que ce soit deux mondes éloignés, l’Art et le BTP ont su montrer qu’à se mêler, on peut surprendre et même se révéler.
Bien que ce soit deux mondes éloignés, l’Art et le BTP ont su montrer qu’à se mêler, on peut surprendre et même se révéler.
Contact presse
Durant tout le mois de juillet 2019, lors des Rencontres d’Arles à la galerie Folia, Fotohaus | ParisBerlin a présenté dans le programme des Voies-Off l’exposition collective « Mur(s) » / Mauer(n) » à plus de 7000 visiteurs. Rassemblant plus d’une cinquantaine de photographes originaires de France, d’Allemagne et d’autres pays européens, l’exposition met à l’honneur la thématique du mur.
« Il semblerait que le besoin de construire ou de détruire des murs soit inscrit depuis des siècles dans l’ADN des humains. Le concept même de mur renvoie aux désirs des peuples et des individus de délimiter des territoires nationaux, religieux ou ethniques, des lieux publics et des espaces privés. L’objectif étant souvent de pratiquer « l’entre-soi », de se protéger et de se défendre de dangers réels ou fantasmés.
Si certains photographes exposés reflètent des visions géopolitiques et historiques factuelles, d’autres mettent en exergue les regards plus conceptuels et esthétiques qu’ils portent sur les murs dans nos têtes : discrimination sociale, déclassement, enfermement et isolement choisis ou imposés, restriction des libertés individuelles et des droits d’expression ou autocensure. Par ailleurs les changements intervenant en permanence dans les espaces urbains introduisent une autre notion de frontière au niveau des architectures. » nous indique Fotohaus.
Divers axes de réflexions se reflètent à travers cette exposition via les regards des différents photographes invités, mais à nos yeux, un sort son épingle du jeu : Peter Puklus. Artiste hongrois, son Art est complet - photographie, sculpture, installations, vidéos, etc. - et son travail déjà maintes fois récompensé - Grand Prix Images Vevey, Aperture / Paris Photo Photobook Award etc. -.
Mais c’est surtout son dernier projet « Epic Love Story of a Warrior » qui capte notre attention : pour donner encore plus de profondeur et de réflexions à ses photographies, Peter Puklus a choisi de les présenter sur des matériaux de construction bruts. Et ce support n’est autre que notre panneau 3S BASIC !
Son œuvre interroge le rôle social de l’homme, sa prédestination à la paternité, les relations père- fils et questionne le cycle vital de la reproduction, le rythme répétitif des choses de la vie et la notion d’enfermement qui en découle.
Ainsi, à travers ce partenariat, nous trouvons ici une bien belle façon de détourner notre matériel. « Innover » est notre leitmotiv, et bien que ce soit davantage sur le chantier que l’on retrouve cette valeur DOKA, l’art nous prouve encore aujourd’hui que nous pouvons constamment nous réinventer.
« Il semblerait que le besoin de construire ou de détruire des murs soit inscrit depuis des siècles dans l’ADN des humains. Le concept même de mur renvoie aux désirs des peuples et des individus de délimiter des territoires nationaux, religieux ou ethniques, des lieux publics et des espaces privés. L’objectif étant souvent de pratiquer « l’entre-soi », de se protéger et de se défendre de dangers réels ou fantasmés.
Si certains photographes exposés reflètent des visions géopolitiques et historiques factuelles, d’autres mettent en exergue les regards plus conceptuels et esthétiques qu’ils portent sur les murs dans nos têtes : discrimination sociale, déclassement, enfermement et isolement choisis ou imposés, restriction des libertés individuelles et des droits d’expression ou autocensure. Par ailleurs les changements intervenant en permanence dans les espaces urbains introduisent une autre notion de frontière au niveau des architectures. » nous indique Fotohaus.
Divers axes de réflexions se reflètent à travers cette exposition via les regards des différents photographes invités, mais à nos yeux, un sort son épingle du jeu : Peter Puklus. Artiste hongrois, son Art est complet - photographie, sculpture, installations, vidéos, etc. - et son travail déjà maintes fois récompensé - Grand Prix Images Vevey, Aperture / Paris Photo Photobook Award etc. -.
Mais c’est surtout son dernier projet « Epic Love Story of a Warrior » qui capte notre attention : pour donner encore plus de profondeur et de réflexions à ses photographies, Peter Puklus a choisi de les présenter sur des matériaux de construction bruts. Et ce support n’est autre que notre panneau 3S BASIC !
Son œuvre interroge le rôle social de l’homme, sa prédestination à la paternité, les relations père- fils et questionne le cycle vital de la reproduction, le rythme répétitif des choses de la vie et la notion d’enfermement qui en découle.
Ainsi, à travers ce partenariat, nous trouvons ici une bien belle façon de détourner notre matériel. « Innover » est notre leitmotiv, et bien que ce soit davantage sur le chantier que l’on retrouve cette valeur DOKA, l’art nous prouve encore aujourd’hui que nous pouvons constamment nous réinventer.
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